Project

Discipline

human-environment interactions; preindustrial; metallurgy; deforestation; resilience; urbanization; Iron Age; sustainability; trade

Lead
L'avènement de l'âge du fer en Afrique marque le début d'une des transformations les plus importantes de la Terre au cours de l'Holocène préindustrielle. Contrairement à l'Eurasie, où l'agriculture et de la métallurgie développés et se propagent lentement pendant des milliers d'années, le «paquet âge de fer» des plantes cultivées et des animaux, la sidérurgie et l'organisation sociale s'est rapidement développée à travers l'Afrique subsaharienne. Cette révolution dans les modes de vie fondamentalement modifié la relation des Africains avec leur environnement. Pourtant, malgré la grande quantité de recherches sur la préhistoire de l'Afrique, les moteurs du développement économique et social au cours de l'âge du fer continuent de faire l'objet d'un vif débat. Le rôle des changements environnementaux exogène, par exemple, à travers le changement climatique, et comme un endogène, par exemple, par la dégradation des écosystèmes en raison de la déforestation est généralement non quantifiés.
Lay summary
Le projet ACACIA aborde le problème de la co-évolution de la société et de l'environnement en Afrique de fer Âge. Dans ce projet, nous demandons les questions suivantes: 1) Compte tenu de leur économie, de la technologie et des stratégies de subsistance, quel impact aurait âge de fer Africains ont eu sur leur environnement en termes de déforestation, l'érosion et l'épuisement des éléments nutritifs du sol? 2) Qu'est-ce que la synthèse à grande échelle de paleorecords terrestres montrer en termes de tendance temporelle et spatiale des changements de la couverture terrestre? 3) Quelle est la sensibilité étaient les écosystèmes qu'ils habitaient au changement de l'environnement exogène et endogène? Ces écosystèmes pourraient se remettre de la perturbation humaine? Sur quelle échelle de temps? Notre méthodologie est d'employer un certain nombre de ressources clés développée dans notre groupe de recherche, y compris les bases de données des populations du passé humaines, l'utilisation des terres et de l'urbanisation ainsi que de nouvelles méthodes pour la reconstruction à grande échelle des changements de la couverture terrestre à partir des dossiers paléoécologiques, et un modèle de la végétation, le feu, l'érosion et les impacts humains. Nous travaillons avec des experts dans l'histoire économique de mieux quantifier la consommation et du commerce des ressources motifs et calculer le potentiel de dégradation de l'environnement. Grâce à un projet de recherche interdisciplinaire impliquant l'histoire économique, l'archéologie, la reconstruction paléoenvironnementale et intégrées de modélisation, nous allons apporter une contribution substantielle à notre compréhension des interactions entre l'homme et l'environnement à grande échelle dans le temps préindustrielle et l'état actuel des écosystèmes de l'Afrique comme conditionné par plus de deux millénaires d'activités humaines intensives.

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Last update: 25.02.2014

GWGEN v1.0.2: A global weather generator for daily data

Author	Sommer, Philipp; Kaplan, Jed O.
Publication date	12.09.2017
Persistent Identifier (PID)	https://doi.org/10.5281/zenodo.889213
Repository	Zenodo

Active participation

Self-organised

Number	Title	Start	Funding scheme

The advent of the Iron Age in Africa marks the beginning one of the most important transformations of the Earth during the preindustrial Holocene. In contrast to Eurasia, where agriculture and metallurgy developed and spread slowly over thousands of years, the “Iron Age package” of domesticated plants and animals, ferrous metallurgy, and social organization expanded rapidly through sub-Saharan Africa over the period 2500 BC to AD 1000. This revolution in human lifestyles fundamentally altered Africans’ relationship with their environment. Yet despite the large amount of research on the prehistory of Africa, the drivers of economic and societal development during the Iron Age continue to be the subject of vigorous debate. The role of environmental change, both as an exogenous factor, e.g., through large-scale climate change, and as an endogenous one, e.g., through the degradation of sensitive ecosystems as a result of anthropogenic deforestation and erosion is largely unquantified. Archaeologists have suggested environmental change as a reason for human change in pre-European Africa, but disagree about the importance of endogenous factors such as land degradation. Likewise, contrasting interpretations of terrestrial, marine, and ice-core paleorecords suggest that human action in Africa was, or was not, significant in the preindustrial era. The ACACIA project will tackle the problem of the co-evolution of society and environment in Iron Age Africa by asking the questions: Given their economy, technology, and subsistence strategies, how much impact would Iron Age Africans have had on their environment in terms of deforestation, erosion and depletion of soil nutrients?What does a large-scale synthesis of terrestrial paleorecords show in terms of the temporal and spatial trend of land cover change?How sensitive were the ecosystems they inhabited to exogenous and endogenous environmental change? Could these ecosystems recover from human disturbance? Over what timescale?Our methodology is to employ a number of key resources developed in our research group over the past years, including databases of past human populations, land use, and urbanization along with new methods for reconstructing large-scale land cover change from paleoecological records, and a state-of-the-art model of vegetation, fire, erosion, and human impacts. We will recruit expertise in economic history to our team to better quantify resource consumption and trade patterns and calculate the potential for environmental degradation. Through an interdisciplinary research project involving economic history, archaeology, paleoenvironmental reconstruction, and integrated modeling, we will make a substantial contribution to our understanding of both large-scale human-environment interactions over preindustrial time and the current state of Africa’s ecosystems as conditioned by more than two millennia of intensive human activities.