Contenu et objectifs du travail de recherche Le Rapport social 2016 constitue une vitrine des sciences sociales en Suisse, mais aussi un outil de référence et une source d’information qui s’adresse à plusieurs publics (politiciens, étudiants, grand–public, médias, etc.). Il est également un instrument important pour la comparaison de la Suisse avec d’autres pays. Il paraît sous la forme d’un livre et d’un site Internet disponibles en trois langues. Depuis 2000, le Rapport social est structuré en cinq chapitres : répartition de biens sociaux ; diversité culturelle ; intégration sociale ; régulation politique ; société et environnement. Chaque chapitre comprend 15 indicateurs et une contribution analytique. Le Rapport social 2016 a pour thème transversal « le bien-être et la qualité de vie » et s'inscrit ainsi dans la mouvance européenne actuelle. Il est conduit par le même groupe de pilotage constitué de professeurs des universités de Suisse que l’édition 2012. De plus, à fin 2013, les professeurs suivants ont accepté de rédiger une contribution : Rafael Lalive (UNIL) & Rainer Winkelmann (UZH), Arnd Bünker (SPI, UNIFR), Robin Tillmann (FORS) & Monica Budowski (UNIFR), Marc Bühlmann (UNIBE), Jean Simos (UNIGE). Contexte scientifique et social du projet de recherche Le Rapport social 2016 s’inscrit dans la tradition du social reporting en Suisse et marque ainsi une continuité temporelle dans la production des rapports sociaux débutée en 2000. Grâce à sa structure en cinq chapitres, à ses 75 indicateurs et à ses 5 contributions, il dresse un état des lieux du bien-être en Suisse de manière complète et multidimensionnelle. Enfin, il permet de comparer le bien-être de la population suisse avec celui d’autres Etats européens ou internationaux et ainsi proposer quelques solutions pour l’améliorer encore.
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